Parfois on aimerait
ne jamais avoir connu l'amour, juste pour n'avoir jamais connu le vide
qui s'est créé dans nos coeurs, nos coeurs de papier, qui se déchirent à
force de battre... à chaque blessure, l'encre de nos veines qui s'est
versée sans appel, tant de mots gravés sur la peau... et cette solitude
sans pitié sur ces lignes éternelles, qui dévore nos sentiments et se
délecte de nos rancoeurs, de son sourire malicieux en coin...
Qu'il
est difficile de ne pouvoir que compter sur soi-même en ce monde triste
à mourir, où nous devrions vivre main dans la main sans compter les
jours, et non l'orgueil en roi imposant la loi du mépris envers tout ce
qui n'est pas "nous"...
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