Il est des jours désespoirs
Où la paix n'a lieu que dans le noir
La lumière éteinte, les volets fermés
Et des nuits blanches et claires
Où l'on cherche la solitude amère
Où la paix n'a lieu que dans le noir
La lumière éteinte, les volets fermés
Et des nuits blanches et claires
Où l'on cherche la solitude amère
À défaut de pouvoir l'apaiser
Il est des journées longues comme l'éternité
Et vides comme le futur qui nous est présenté
Où l'on pèse à travers les fenêtres embuées
Chaque larme du ciel qui ne cesse de tomber
Il est des soirs si dérisoires
Où l'on cherche sans trop y croire
Des raisons d'exister à une vie superflue
Dont personne, pas même son âme, n'a voulu
Il est des journées longues comme l'éternité
Et vides comme le futur qui nous est présenté
Où l'on pèse à travers les fenêtres embuées
Chaque larme du ciel qui ne cesse de tomber
Il est des soirs si dérisoires
Où l'on cherche sans trop y croire
Des raisons d'exister à une vie superflue
Dont personne, pas même son âme, n'a voulu
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